-Deadpool is insecure -Deadpool has chronic pain -Deadpool is submissive in bed -Deadpool is pansexual -Deadpool lifts up his mask so Hawkeye can read his lips -Deadpool is a blonde -Deadpool’s initials are WWW -Deadpool had an abusive father -Deadpool’s mother died from cancer -Deadpool fell in love with a teenager -Deadpool left her because he didn’t want to hurt her -Deadpool had a daughter -Deadpool didn’t believe she was his because she was too beautiful -Deadpool had to be dragged away from his daughter’s dead body by Cap and Wolverine -Deadpool carries Hello Kitty band aids -Deadpool is good with kids -Deadpool can’t be killed by Ghost Rider because he doesn’t think he’s done anything wrong -Deadpool hates himself -Deadpool used to curl up in a ball and mumble about his skin hurting -Deadpool is married to the queen of the undead -Deadpool reads his own comics
Conclusion: Wade Winston Wilson is a beautiful man who must be protected.
This game is so awesome <3
Dishonored ~ ‘Corvo’ Cosplay by neoncowboy
Ça y est, alors que j’écris ces lignes, je vis mes dernières heures sur le sol anglais.
J’ai dit au revoir à mes amis, mes collègues (et non, pas mes amours), et j’emballe mes derniers effets, lentement, en savourant chaque secondes.
J’ai appris à l’aimer ce pays. Oh, je ne suis pas un Globe-trotter, je n’ai même pas tant visité le pays, au final. Mais l’ambiance, les gens, les pubs, les rues, le brouhaha sonore (anglais), l’architecture, la nourriture (si, quelque part…), le thé, les paysages, la pluie, le brouillard, tout ça me manquera terriblement.
Mais je pense à nouveau à la France. Enfin, je n’ai jamais vraiment cessé d’y penser. A travers le hublot Internet, je me suis tenu au courant de ce qu’il s’y passait. A travers les couloirs blanc immaculés de ses fibres optiques, j’ai reçu les échos scandaleux de slogans haineux et de harangues nationalistes, homophobes et rétrogrades.
Néanmoins, je suis bien conscient que de par sa nature, on n’a qu’une vision très extrême de l’info à travers les réseaux sociaux. Colères, scandales, pétitions, articles fumeux, brulots mal écrits, juste indignation, etc… c’est cela que l’on retrouve en 140 caractères sur Twitter, ou en une poignée de lien sur Facebook.
Je sais que j’ai une vision déformée. Et pourtant, je n’ai pas envie que cela cesse. J’ai peur, même, de voir disparaitre ces luttes et ces indignations se diluer dans la masse oppressante du quotidien. Mais si ma vision n’était pas si déformée ? Si Lundi j’assiste à un acte raciste ou sexiste, au travail ou dans la rue, oserai-je élever ma voix et m’interposer?
C’est terrible, avoir des (semi-)opinions et n’en faire rien. Encore pire, avoir des opinions et ne faire qu’en parler.
IT’S BACK! I LOVE THIS VIDEO SO MUCH
dystopian novel premise:
A high flying Silicon Valley startup has invented Good Dollars, debit cards which can be restricted so that the money can only be spent “ethically” - that is, on products that have been whitelisted by the person who set up the card. Employers start paying their employees in Good Dollars instead of regular dollars so they can control how their workers spend their paychecks.
Most employers blacklist alcohol and cigarettes, because they don’t feel it’s appropriate for you to spend your paycheck on those. Some employers, being especially socially conscious, blacklist movie theatres and swimming pools, while others make it impossible to spend your money on potato chips or soda. The CEO of Walmart really hates lobsters so Walmart paychecks are restricted so you can’t buy lobster. The CEO of Amazon has a beef with steak, so if you work for Amazon your Good Dollars won’t let you buy any.
Plot twist: like all great dystopian novels, this one is just “what if we treated everyone the way we treat poor people”. Kansas lawmakers have banned welfare recipients from spending their money on movies and swimming pools. Missouri tried to ban food stamps recipients from spending the food stamps on steak, seafood, and cookies. Wisconsin is debating a ban on buying “unhealthy” food with food stamps.
So if you’re in the mood to be a brave teenage protagonist, boy have I got a system for you to take on.
amen 🙏🙏🙏
Chosen_Undead by Selann
(note pour un possible futur)
“Ne mange pas trop vite” “Fais attention en traversant” “Ne parle pas aux inconnus” “Ne commence jamais la cigarette” “Mets des capotes” “Ne bois pas dans un verre qui n’est pas le tien” “Ne conduis pas bourré”
À chaque âge, on rajoute un conseil, une mise en garde, un ordre, une recommandation. On la répète plusieurs fois. Petits, parce qu’ils n’écoutent rien, ces anarchistes. Plus grands, parce qu’il faut d’abord répéter la recommandation seule, face au miroir de la salle de bains, en tentant différentes approches : “Alors, tu as maintenant 14 ans, je voulais te parler de sexe.” Non, trop direct. “Alors, tu connais mon pote Bruno, qui est séropositif ?” NON PUTAIN. “J’ignore si l’ipséité d’un coït t’est déjà apparue intrinsèquement mais…” OH BORDEL.
Des heures de torture mentale pour finir par un “Tiens, voilà des capotes. Ne te sens pas obligé d’avoir des relations parce que tu as des capotes, mais si tu as des relations, mets des capotes. ET NE FAIS PAS DES BALLONS AVEC, IMBÉCILE”
Et puis il y a d’autres recommandations, celles qu’il ne faut pas dire, qu’on ne trouve pas dans les magazines Psychologie ou Parents, celles qui outrent les copines, celles qu’on ne peut même pas répéter face à un miroir, de peur de ne plus trouver le courage de les faire.
“Tu es un garçon. Comme Spiderman, tu as un grand pouvoir et donc une grande responsabilité : tu risques, un jour, d’être physiquement plus fort qu’une femme. Voire que plusieurs femmes, voire que plein de femmes. Cette force physique en plus, tu peux l’oublier et, un jour de colère, de déception, ou un jour où tu seras ivre peut-être, tu peux t’en servir. Pour frapper. Ou pour obtenir quelque chose de force. Un baiser ou un câlin qu’on te refuse. Alors que toi tu en avais très envie maintenant. Tu as la responsabilité de ta force. Ne frappe jamais une femme. Entends et arrête-toi immédiatement si une femme te dit non.”
On dit aux jeunes filles de ne pas traîner tard le soir dans tel ou tel quartier, on leur refourgue mille et une astuces pour se protéger. Mais on ne dit pas aux jeunes garçons de ne pas abuser de leur force.
Comme si, en le leur disant, on traitait tous les hommes de pervers. Mais on leur dit bien de ne pas voler, les traite-t-on pour autant tous de voleurs ? On leur dit aussi de ne pas se battre, insinue-t-on par là qu’ils sont tous des incontrôlables qui cassent le crâne du moindre interlocuteur qui n’est pas d’accord avec eux ? Pourquoi il ne faudrait pas leur dire de ne pas frapper une femme, de ne pas violer une femme ?
Parce que nos propres enfants pourront se faire écraser s'ils ne regardent pas à droite et à gauche, peut-être ; ils pourront avoir un accident de voiture bourrés, ça arrive ; ils pourront voler une fringue, ces idiots, on sera inquiets, tristes, en colère, mais on comprendra, ça fait partie de la vie.
Mais nos enfants ne cogneront pas leur femme, ça non. Ils ne violeront pas, ça non. Ce sont d’autres gens qui font ça, ce sont des adultes tordus, sortis de nulle part, des marginaux, des pas comme nous.
Au risque de décevoir : chaque homme qui tue une femme de ses coups, chaque homme qui viole, a un jour été un enfant. Et il a eu des parents. “Oui, mais des parents défaillants alors ! s’insurge-t-on. Pas des parents comme moi ! Moi, je suis équilibré(e), j’ai joué avec lui au moins une heure par jour, et je lui ai fait du gratin de chou-fleur maison.”
J’en ai vu des mères “normales” sur le banc du tribunal, qui regardaient leur fils dans le box de l’accusé. Durant les longues heures du procès, elles fixent tantôt leur enfant, tantôt leurs pieds. Je les ai vues passer en revue chaque journée de leur éducation, pour trouver l’endroit où elles avaient pu échouer. Elles se torturent à chercher, à vouloir comprendre, elles disent “Mais pourtant il est normal”.
Nos enfants peuvent battre une femme.
Nos enfants peuvent violer une femme.
Parlons à nos fils. Un mot, ce n’est pas grand-chose, mais parfois, ça change beaucoup de vies.
3D-printed prosthetic costs way less than other alternatives
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The contrast between the calmness of an Aikido thrower and the panic of an Aikido “throwee.”
Yet another geeky guy on the internet of Things. Plot-twist: is actually a feminist, expect some reblogs.
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