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Ridiculously honored to have been able to do today’s doodle for Sally Ride’s 64th birthday. First female US astronaut, first LGBT astronaut, youngest astronaut to date, physicist, professor, author, and champion of interesting STEM programs for kids, especially girls.
You can read more about her here, including a guest blog post from her partner Tam O’Shaughnessy. You can also find a video animated by the amazing Nate Swinehart, and narrated by myself and Tam, detailing some of the process work that went into everything.
I have no words. This saddens and angers me so much.
Today marks the 26th anniversary of the École Polytechnique massacre, in Montreal, Canada. A cowardly, misogynic act which left 14 promising women dead, simply because they were women:
Twenty-five-year-old Marc Lépine, armed with a Mini-14 rifle and a hunting knife, shot 28 people, killing 14 women, before committing suicide. He began his attack by entering a classroom at the university, where he separated the male and female students. After claiming that he was “fighting feminism” and calling the women “a bunch of feminists,” he shot all nine women in the room, killing six. He then moved through corridors, the cafeteria, and another classroom, specifically targeting women to shoot. Overall, he killed fourteen women and injured ten other women and four men in just under 20 minutes before turning the gun on himself.[1][2] His suicide note claimed political motives and blamed feminists for ruining his life. The note included a list of 19 Quebec women whom Lépine considered to be feminists and apparently wished to kill.[3]
After this despicable act, Canada adopted gun control measures. Since gun control measures were adopted there has not been another mass shooting killing more than 10 people in Canada. Since École Polytechnique there has only been 9 massacres in Canada; 9 in 26 years.
Please remember these women.
Tweets by the YWCA of Toronto
-Deadpool is insecure -Deadpool has chronic pain -Deadpool is submissive in bed -Deadpool is pansexual -Deadpool lifts up his mask so Hawkeye can read his lips -Deadpool is a blonde -Deadpool’s initials are WWW -Deadpool had an abusive father -Deadpool’s mother died from cancer -Deadpool fell in love with a teenager -Deadpool left her because he didn’t want to hurt her -Deadpool had a daughter -Deadpool didn’t believe she was his because she was too beautiful -Deadpool had to be dragged away from his daughter’s dead body by Cap and Wolverine -Deadpool carries Hello Kitty band aids -Deadpool is good with kids -Deadpool can’t be killed by Ghost Rider because he doesn’t think he’s done anything wrong -Deadpool hates himself -Deadpool used to curl up in a ball and mumble about his skin hurting -Deadpool is married to the queen of the undead -Deadpool reads his own comics
Conclusion: Wade Winston Wilson is a beautiful man who must be protected.
INKTOBER Day 14!
The world of Airth. Literally torn apart by an ancient war between the gods who created it, Airth is divided into 4 sections: 1. the Stratos, a chain of islands high in the sky where the Sylph people live 2. The Rimland, a massive ring of continents and giant islands where Most of the inhabitants of Airth live. Wake lives here. 3. The Abyss, a stretch of atmosphere filled with incredible cloud formations and tiny floating islands. Limberg and Grimm are from here. 4. The Core, an ocean covered rocky sphere filled with colossal caves. The Tengru, monsters and beasts, and the Dark Lord live down here.
There is a prophecy that the Dark Lord will regain his power and destroy what’s left of Airth to start a new planet with him as ruler. The only thing that can stop him is the Star Seed. It is the key to making Airth whole again and destroying the darkness forever. But is the Star Seed only a myth?
#inktober #inktober2015 #SkyHeartComic
Je n’aime pas trop parler de moi, surtout pour me plaindre.
À ceux qui savent qui se cache derrière mon pseudo, merci de garder ce qui suit pour vous.
Aujourd’hui comme tous les jours depuis un an et demi, je vais travailler pour une grande entreprise, ou je vais occuper un poste considéré par beaucoup comme valorisant et enrichissant.
Et pourtant, je n’arrive pas à me réjouir de cette position si enviable.
Pire, Lundi prochain, je prendrai un nouveau poste. Bien payé, en CDI, qui offre de belles opportunités de carrières.
J’ai toujours été quelqu’un avec des « capacités ». Apprentissage facile, toujours dans le « peloton de tête » sans forcer. Curieux, timide, un peu glandeur, car surtout rêveur. « Il est un peu dans la Lune », « Encore dans ses bouquins », « Il préfère rester dedans que d’aller voir ses copains » les litanies entendues par les geeks en puissance pendant leur enfance.
« Et tu veux faire quoi quand tu seras plus grand »
Je sais pas. Enfin, si, je sais, mais vous, vous n’avez pas à le savoir. Et puis quand je l’ai dit, j’ai essuyé les regards moqueurs.
Professeur. Professeur de Physique-Chimie. Une noble profession pourtant.
« Mais bon, tu comprends, ce n’est pas sûr que tu aies le concours ». C’est vrai, je suis plutôt flemmard, je n’ai pas la sacro-sainte « méthode » pour réviser pendant 10 heures efficacement. Je déteste « gober » des connaissances. Alors autant jouer « safe ».
Une fois mon Bac S en poche, avec une médiocre mention Assez Bien accolée dessus (saloperies de maths), le choix se pose.
Fac ? Pas assez mature, ne tiendra pas le rythme, trop perché, manque d’indépendance. Prépa ? Mes résultats en dents de scies ne m’ouvrent les portes que de quelques écoles locales, plutôt médiocres. DUT. Ha ! Des cours sympas, plein de science, avec beaucoup de pratique. Impeccable !
Je suis admis, et encore une fois, flotte aisément dans le tiers supérieur de la promo, sans trop forcer. C’est cool, l’année prochaine, je vais en licence et je passe le concours dans la foulée.
Nous sommes en 2009. Réforme de l’éducation. Les modalités d’accession au concours du CAPES sont modifiées.
Il faut un BAC +5.
Putain, Sarko, celle-là, je ne l’ai toujours pas digérée.
Encore une fois, le temps des options :
Fac ? Mes résultats me le permettent, mais la fac de Montpellier est un bordel monstre (source : ma copine de l’époque), pour une année, ça aurait fait l’affaire, pour trois, hors de question. École d’ingé ? Hmmm, ça va être dur de rentrer, je ne pensais pas avoir besoin de gros résultats, du coup, je risque de me planter. École d’ingé en Alternance ? En théorie, le paradis. Payé (une misère, certes, mais bon), formation pratique, avec des bons cours (de l’école des Mines, ce n’est pas rien bordel) et possibilité de passer le concours à la sortie, tranquillement. En plus je trouve une alternance dans une boite de métallurgie, en centre de recherche. Cool, de la science un peu théorique, des labos, de la chimie.
Dans la pratique, ça a sans doute été les pires années de ma vie au niveau professionnel. A l’école : des cours généraux chiants (RH, je crie ton nom) voire carrément gerbants (finance, marketing, je vous hais), et un formatage flippant. Le peu de « science » sont des trucs très basiques, torchés facilement. Les autres élèves sont inintéressants au possible et intéressés par le côté « management » de la formation (WTF). Ma motivation chute, mes notes stagnent mollement dans le milieu de promo.
En entreprise, ce n’est pas mieux : management a la ramasse, tuteur brillant mais surchargé, projets chiants et sans rapport avec la métallurgie ou la chimie, pas de connaissances des process. Bref, je nage en plein brouillard, sans guide ni envie d’avancer.
A cela s’ajoute l’éloignement, mon alternance me coinçant entre Grenoble et Saint-Etienne (une belle ville de merde), loin de Narbonne et Montpellier. C’était sans doute ça le plus dur : la solitude dans une région inconnue, loin de tout, de tout le monde.
Et toujours, cette impression d’avoir fait le mauvais choix, de ne pas être à la bonne place.
Coucou la déprime, coucou les pensées suicidaires.
Ca s’arrange un peu pendant les deux dernières années. Je rencontre des gens qui deviendront des amis très chers, et je pratique beaucoup le jeu de rôle, en tant que MJ puis joueur.
C’est la fin, mais ma motivation est au plus bas. Tout le monde se congratule de ma réussite, de mon diplôme, de ce statut d’ingénieur (unique dans la famille). Vous voyez, l’ascenseur social de l’éducation, ça marche ! Et il a trouvé un V.I.E en Angleterre ! Ah ça oui, on peut parler d’itinéraire idéal. Et dire qu’il voulait faire prof, haha, ça lui a passé !
Ouais, ça m’a passé. Ça ne m’enchante plus comme avant. Alors, je fais quoi maintenant ?
Je suis ingénieur, bilingue, cadre dans une grande entreprise, et je ne peux pas dire que j’aime ça. Je suis un imposteur, et je n’ai rien à faire ici. J’y suis par réflexes soci(ét)al plus que par ma propre volonté.
Le pire, c’est que je ne sais même pas ce que j’aurai pu changer dans mon parcours. Tout ça paraissait logique, évident. Cette force invisible qui vous pousse toujours plus haut. Ces parents, ces profs, ces conseillers d’orientation (je vous chie dessus, incompétents que vous êtes).
A l’époque, je n’avais pas la force de résister à cette force invisible.
Je ne suis toujours pas sur de l’avoir.
Et putain, je me hais pour ça.
Depuis tout ce temps, je n’ai pas cessé d’être curieux, de rêver, de penser. J’aimerai scénariser des jeux ou des films. J’ai des dizaines d’idées, des mondes qui bouillonnent là-dedans. Des intrigues, des mythologies, des drames et des tragédies.
Alors, je fais quoi maintenant ?
Rappel cordial que les artworks de L5R = <3 (Et ceux de Mario Wibisono en particulier)
Bayushi Misaki by MarioWibisono
2015: les USA n'ont pas pris part à la seconde guerre mondiale, le débarquement n'a pas eu lieu. Épuisée, l'Angleterre a rendue les armes, à la suite de quoi l'étreinte Nazi a étouffé toutes les poches de résistance en Europe. Contraints de fuir, des centaines de français trouvent refuge dans les colonies.
Pendant plus de 60 ans, le IIIème Reich s'est assoupi sur ses victoires passées. Mais l'appétit dévorant de ce géant autoritaire et militariste n'est jamais rassasié. Alors que ses yeux gourmands se tournent vers les restes de ses ennemis d'antan, les descendants des réfugiés de la guerre, craignent de revivre l'Horreur une fois de plus... Lorsque rafles, censures et raids anti-libertaires s'abattent à nouveau sur le Monde, le feu d'une révolte sans précédent s'allume... Le laisserez vous s'éteindre, ou brûlez vous de ce feu intense qui abat les dictatures?
Il y a sans doute pas mal d'objections historiques à apporter à ce pitch de base, mais l'idée m'a bien plus. Apparemment, je suis pas le seul, vu que j'ai déjà un joueur et deux joueuses qui se sont manifestés!
I want more :o
Roll to banish TERFs
It’s a natural 20
Yet another geeky guy on the internet of Things. Plot-twist: is actually a feminist, expect some reblogs.
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