Getting salt from gamer boys in my inbox.
Listen up turd turrets, I WANTED to just play video games, I WANTED to just have fun, I NEVER wanted my gaming to be political or a struggle, I just wanted to play.
But you wouldn’t fucking let me, you brought up my gender, you judged me based on it, YOU made it political.
So now I WILL wreck everything with my fucking feminism, I am the feminist nightmare you fucking created.
Witness me.
More work done for Paizos Pathfinder
(note pour un possible futur)
“Ne mange pas trop vite” “Fais attention en traversant” “Ne parle pas aux inconnus” “Ne commence jamais la cigarette” “Mets des capotes” “Ne bois pas dans un verre qui n’est pas le tien” “Ne conduis pas bourré”
À chaque âge, on rajoute un conseil, une mise en garde, un ordre, une recommandation. On la répète plusieurs fois. Petits, parce qu’ils n’écoutent rien, ces anarchistes. Plus grands, parce qu’il faut d’abord répéter la recommandation seule, face au miroir de la salle de bains, en tentant différentes approches : “Alors, tu as maintenant 14 ans, je voulais te parler de sexe.” Non, trop direct. “Alors, tu connais mon pote Bruno, qui est séropositif ?” NON PUTAIN. “J’ignore si l’ipséité d’un coït t’est déjà apparue intrinsèquement mais…” OH BORDEL.
Des heures de torture mentale pour finir par un “Tiens, voilà des capotes. Ne te sens pas obligé d’avoir des relations parce que tu as des capotes, mais si tu as des relations, mets des capotes. ET NE FAIS PAS DES BALLONS AVEC, IMBÉCILE”
Et puis il y a d’autres recommandations, celles qu’il ne faut pas dire, qu’on ne trouve pas dans les magazines Psychologie ou Parents, celles qui outrent les copines, celles qu’on ne peut même pas répéter face à un miroir, de peur de ne plus trouver le courage de les faire.
“Tu es un garçon. Comme Spiderman, tu as un grand pouvoir et donc une grande responsabilité : tu risques, un jour, d’être physiquement plus fort qu’une femme. Voire que plusieurs femmes, voire que plein de femmes. Cette force physique en plus, tu peux l’oublier et, un jour de colère, de déception, ou un jour où tu seras ivre peut-être, tu peux t’en servir. Pour frapper. Ou pour obtenir quelque chose de force. Un baiser ou un câlin qu’on te refuse. Alors que toi tu en avais très envie maintenant. Tu as la responsabilité de ta force. Ne frappe jamais une femme. Entends et arrête-toi immédiatement si une femme te dit non.”
On dit aux jeunes filles de ne pas traîner tard le soir dans tel ou tel quartier, on leur refourgue mille et une astuces pour se protéger. Mais on ne dit pas aux jeunes garçons de ne pas abuser de leur force.
Comme si, en le leur disant, on traitait tous les hommes de pervers. Mais on leur dit bien de ne pas voler, les traite-t-on pour autant tous de voleurs ? On leur dit aussi de ne pas se battre, insinue-t-on par là qu’ils sont tous des incontrôlables qui cassent le crâne du moindre interlocuteur qui n’est pas d’accord avec eux ? Pourquoi il ne faudrait pas leur dire de ne pas frapper une femme, de ne pas violer une femme ?
Parce que nos propres enfants pourront se faire écraser s'ils ne regardent pas à droite et à gauche, peut-être ; ils pourront avoir un accident de voiture bourrés, ça arrive ; ils pourront voler une fringue, ces idiots, on sera inquiets, tristes, en colère, mais on comprendra, ça fait partie de la vie.
Mais nos enfants ne cogneront pas leur femme, ça non. Ils ne violeront pas, ça non. Ce sont d’autres gens qui font ça, ce sont des adultes tordus, sortis de nulle part, des marginaux, des pas comme nous.
Au risque de décevoir : chaque homme qui tue une femme de ses coups, chaque homme qui viole, a un jour été un enfant. Et il a eu des parents. “Oui, mais des parents défaillants alors ! s’insurge-t-on. Pas des parents comme moi ! Moi, je suis équilibré(e), j’ai joué avec lui au moins une heure par jour, et je lui ai fait du gratin de chou-fleur maison.”
J’en ai vu des mères “normales” sur le banc du tribunal, qui regardaient leur fils dans le box de l’accusé. Durant les longues heures du procès, elles fixent tantôt leur enfant, tantôt leurs pieds. Je les ai vues passer en revue chaque journée de leur éducation, pour trouver l’endroit où elles avaient pu échouer. Elles se torturent à chercher, à vouloir comprendre, elles disent “Mais pourtant il est normal”.
Nos enfants peuvent battre une femme.
Nos enfants peuvent violer une femme.
Parlons à nos fils. Un mot, ce n’est pas grand-chose, mais parfois, ça change beaucoup de vies.
Nous allons brièvement évoquer pourquoi le concept de friendzone est nocif et participe à la culture du viol.
La culture du viol est une notion établissant des liens entre le viol (ainsi que d'autres violences sexuelles) et la culture de la société où ces faits ont lieu, et dans laquelle prévalent des attitudes et des pratiques tendant à tolérer, excuser, voire approuver le viol.
La friendzone est un anglicisme qui dans la culture populaire a une connotation péjorative. Elle est utilisée pour définir la situation dans laquelle un individu ne considère pas comme un-e potentiel-le partenaire,une personne qui veut entretenir une relation plus que platonique. Il est perçu comme quelque chose de mal voir d’honteux d’être dans mis dans «la friendzone » tout autant qu’il serait mal de mettre quelqu’un dans la friendzone. Il y’a tout une mythologie autour du mot assortie d’une injonction : On est bloqué dans la friendzone et il faut s’échapper de la friendzone. Etre considéré-e comme un-e ami-e est vécu comme une punition et parfois même comme une injustice.
Ce concept apparait pour la première fois à la télévision américaine le 3 novembre 1994 dans le 7ème épisode de la saison 1 de la série télé Friends « celui qui a du jus » . Joe Tribbianni fait savoir à Ross qu’il a perdu trop de temps pour avouer ses sentiments à Rachel et le qualifie de « maire de la friend zone ». Ce terme va se répandre et apparaitra en ligne le 15 décembre 2003 sur le site du dictionnaire urbain « urban dictionnary » par l’utilisateur « I Like Bread » qui le définit comme étant « ce que l’on atteint lorsqu’on ne parvient pas à impressionner une femme. » Une série de définitions seront par la suite introduites sur le site ne présentant que la possibilité que ce soit l’homme qui en soit l'objet.Il nous apparait donc que l’étymologie du terme friendzone ne concernait que les relations hétérosexuelles avec au centre le sujet masculin.
Le concept de Friendzone est problématique car bien que par abus de langage il puisse aujourd'hui être utilisé indifféremment du genre il est cependant majoritairement utilisé par les hommes (comme le veut son étymologie). Nous pouvons constater que le discours entourant le concept de friendzone est sexiste . Il déni le droit aux femmes d’entretenir une relation amicale avec un homme sans vouloir plus, le droit de dire « non » . Le concept de friendzone ne peut donc prospérer que dans des sociétés où la culture du viol est présente. Il impose une équivalence selon laquelle l’investissenement d’un homme doit obligatoirement s’assortir d’une réponse sexuelle ou sentimentale favorable de la femme. Avec en filigrane l’idée qu’un homme ne peut pas être gentil pour rien ce qui est faux. Tout un champ lexicale de la culpabilisation et du mépris est utilisé pour faire savoir aux femmes que considérer un homme uniquement comme un ami et refuser de consentir à ses avances c’est mal et manipulateur . On va parfois jusqu’à leur reprocher d’avoir entretenu des relations cordiales en prétextant que l’intention était de mener en bateau le friendzoné. En effet les personnes se disant friendzonées se présente parfois comme étant des victimes. Qui dit victime présume donc culpabilité.
Rappelons qu’être déçu-e-s ne fait pas de nous une victime. Une personne qui ne répond pas à nos avances ne nous rejette pas, elle exerce son droit à choisir.
La façon dont la société traite une femme qui manifeste son manque d’intérêt pour un homme qui en manifeste pour elle est très parlant. On va essayer de la contraindre « mais vas y essaye, il t’aime bien » sont courant. Le désir de l'homme est plus important que le désintérêt de la femme.
Une menace implicite plane sur le future affectif des femmes ne se ralliant pas et cherche à insinuer qu’elles vont le payer car le résultat sera qu’elles ne seront pas épanouies dans les relations amoureuses/sexuelles qu’elles choisiront de poursuivre. En cas d’échec de leurs relations elles pourront être sujettes à des railleries et à un rappel du fait qu’elles n’avaient pas répondu aux avances d’un « nice guy » et qu’elles en paient donc le prix. C’est là que le concept du « nice guy » entendons « gentil garçon » intervient et est tout aussi nocif. Il faut rappeler que la gentillesse est une qualité non un argument en faveur d’un droit à se voir offrir des faveurs amoureuses et sexuelles. Être un être humain décent ne vous accorde pas un droit à être dans une relation avec une femme que vous désirez. Une femme n’est pas un trophée accordé à un homme pour bonne conduite. On voit pulluler des centaines de vidéos, de « blagues » renforçant l’idée que si un homme ne saurait être courtois qu’en vue de faveurs sexuelles et que si celles ci lui sont déniées il a le droit de se comporter comme un mufle ou de se sentir offensé .
Le traitement des hommes qu’on estime friendzonés est tout aussi malsain car ils sont très souvent l’objet de moquerie. Il apparait une injonction malsaine pour les hommes leur faisant croire qu’ils doivent toujours réussir à “conclure”. On y ajoute l’injonction qui leur est insidieusement faite de toujours vouloir plus des filles avec lesquelles ils sont proches. Ils seront l’objet de railleries s'ils ne souscrivent pas au mythe voulant que « l’amitié fille garçon n’existe pas » . Oui il y’a bien des hommes qui ne veulent pas « choper » leurs amies , accordent de la valeur à leur amitiés et ne sont pas des êtres diminués pour cela. Présenter les hommes ayant des amies comme des êtres déficients ou en échec et penser que c’est un motif valable de raillerie montre bien le côté malsain de ce concept.
Souscrire à la posture voulant qu’être considéré comme un-e ami-e est une injustice est dangereux. Elle révèle la croyance que la réciprocité des sentiments, et la réponse positive à l’attraction sexuelle que l’on éprouve envers une personne est un droit, est un dû. Chacun-e à le droit de disposer de son corps et de son coeur comme il l’entend. Personne ne vous doit une relation sexuelle ni amoureuse. Être ami avec une personne n’est pas une sentence punitive ni un motif de chantage pour faire évoluer une relation.
De plus le concept de friendzone est hétérosexiste car il oblitère le fait que toutes les relations ne sont pas d’ordre hétérosexuelles. L’hétérosexisme est l’idée que l’hétérosexualité est la norme et la seule orientation sexuelle valide.La Friendzone comme on l’a vu est un concept dès son origine mais aussi dans son utilisation ne se rapportant généralement qu’aux couples hétérosexuels. Le problème est donc que l’on suppose que l’homme ou la femme en question a la possibilité de ressentir de l’attraction pour l'autre genre.
Nous finirons par rappeler la définition de l’amitié. Le Larousse définit l’amitié comme étant : Sentiment d'affection entre deux personnes ; attachement, sympathie qu'une personne témoigne à une autre : Bienveillance, gentillesse, courtoisie chaleureuse manifestées dans les relations sociales, privées, mondaines
Rien de négatif on est d’accord.
Par Manuela membre du collectif « Féministes contre le cyberharcelement » Compte twitter du collectif : @VsCyberH Compte Facebook du collectif : Collectif : Féministes contre le cyberharcèlement
Ou quand la magie des Studios Ghibli s’invite dans nos consoles.
Il faut dire que quand un studio d’une telle renommée prête son talent a un jeu réalisé par Level 5 (Dragon Quest VII, professeur Layton, Rogue Galaxy… pas ce qu’on pourrait appeler des débutants dans le cell shading !), on s’attend a du beau, du grand, du fun. Ici, pas de héros à la psychologie torturée, d’intrigue complexe ou de choix cornéliens. Nous sommes dans l’univers Ghibli, où l’on goute à la beauté simple d’un retour en enfance, et où on se balade naïvement, un sourire aux lèvres.
Dès les premières minutes, le jeu plonge nous plonge dans l’univers promis : design, couleurs, animation, thème, personnages, tout respire la fraicheur propre au studio. Rapidement, les éléments de l’histoire se mettent en place : Oliver vit seul avec sa mère dans une petite ville moderne. Son meilleur ami et lui sont passionnés d’automobile et planifient, cette nuit, d’essayer le prototype sur lequel ils ont si durement travaillé ! Bien entendu, cela ne se passe pas comme prévu, et Oliver se retrouve a patauger dans les courants de la rivière voisine. Folle d’inquiétude de ne pas trouver son fils adoré dans sa chambre, la mère d’Oliver part à sa recherche à travers la ville. Apres s’être porté au secours du jeune garçon, celle-ci est victime d’une attaque cardiaque. On apprend que, de constitution faible, celle-ci a sans doute trop forcé cette fois-ci.
Quelques heures plus tard, « Ka-San » décède devant son fils.
Déprimé au-delà de toute description, Oliver ne mange plus, et passe ses journées à pleurer dans sa chambre, serrant contre lui la peluche que sa mère bien aimée lui a confectionnée quelques mois auparavant. Ladite peluche se révèle être une sorte de fée nommée Lumi, un être venant de L’Autre Monde (Ni No Kuni en VO). Une fois le choc passé, celui-ci explique à Oliver son problème.
Une entité maléfique nommé Shadar frappe les habitants de l’autre monde de divers maux. En leur volant une partie de leur cœur, il supprime une de leurs qualités fondamentales (Courage, Gentillesse, etc…). Le problème, c’est que Shadar menace non seulement l’autre monde, mais aussi celui d’Oliver. En effet, les habitants des deux mondes sont liés : chaque habitant d’un monde possède une âme sœur très semblable physiquement, également impactée, dans l’autre. Un effet miroir qui fait dire à Lumi que si la mère d’Oliver est décédée, cela veut sans doute dire qu’il est arrivé quelque chose de grave a son âme sœur.
En effet, il s’avère que son âme sœur est une Grande Sage, une magicienne puissante qui a tenté de confronter Shadar, et qui a vu son âme emprisonné par l’être maléfique. Décidé à tout tenter pour ramener sa mère, c’est ainsi qu’Oliver s’engage sur la voie de Magicien ainsi que dans le monde fantastique de Ni No Kuni !
Le voyage initiatique d’Oliver lui fera rencontrer de nouveaux alliés, et verra ses pouvoirs magiques grandir au fur et à mesure qu’il ajoutera de nouvelles pages à son grimoire. Le grimoire est en effet un point central du jeu. Partie intégrante de l’attirail de magicien, avec la baguette et une précieuse fiole magique, l’antique livre regroupe pas mal d’informations sur l’univers du jeu, et bien que quelques pages soient présentes dès le début de l’aventure, celui-ci se remplira au fur et à mesure de la progression du personnage.
Le système de combat en temps réel est assez dynamique sans tomber dans l’excès d’action, il contient en effet un aspect stratégique centré sur le positionnement, le blocage et l’esquive des coups adverses. On contrôle un des personnages mis en scène dans le combat, les autres suivant une stratégie basique (« Donne tout », « garde nous en vie », « reste en arrière », etc… »). Rapidement, Oliver (et ses alliés par la suite) ont la possibilité d’invoquer des créatures pour prendre leur place au combat. Dans un format similaire à Pokémon, il est possible de capturer ces créature, de les élever (via le combat mais aussi en leur donnant à manger) et de les faire évoluer. Rien de totalement innovant donc, mais l’ensemble reste joliment adapté à l’univers du jeu. Le jeu utilise aussi l’alchimie pour fabriquer de nouveaux objets, ainsi que le transfert de « morceaux de cœurs » pour guérir les cœurs brisés, la plupart du temps utilisé pour la progression du scénario.
Ni No Kuni est un jeu auquel j’ai longtemps voulu jouer. Je ne suis pas un fan inconditionnel de Ghibli, je ne suis pas un fervent joueur des RPG made in Level5 (je n’ai pas fini Dragon Quest 8 ou Dark Chronicles…), mais cette bouffée d’air frais dans l’ambiance lourde des RPG occidentaux actuels (Dragon Age, The Witcher, Skyrim, Fallout ec…) est vraiment bienvenue. Dans l’impossibilité de mettre la main sur la version DS lors de sa sortie (avec le grimoire EN VRAI !), voir le titre arriver sur console de salon a été une très bonne surprise !
Un petit bémol est cependant à porter du côté de la difficulté. Je ne m’attendais pas forcément a un challenge insurmontable, mais les phases « d’enquêtes » sont assez faciles (les fameux mots clés des phrases écris en gras, soulignés et en rouge…). Les combats sont eux assez équilibrés : nul besoin de grinding abusif pour aller affronter les divers boss du jeu, mais y aller tête baissée vous vaudra un Game Over à coup sûr!
Ni No Kuni est donc un jeu que je suggère fortement a tous ceux qui recherchent un peu de fraicheur dans un RPG classique dans sa structure et son gameplay, challengeant sans être hardcore, mais également frais par son design et son ambiance !
A note handed to the men guarding a prisoner we were trying to free…
It’s a social construct
-Deadpool is insecure -Deadpool has chronic pain -Deadpool is submissive in bed -Deadpool is pansexual -Deadpool lifts up his mask so Hawkeye can read his lips -Deadpool is a blonde -Deadpool’s initials are WWW -Deadpool had an abusive father -Deadpool’s mother died from cancer -Deadpool fell in love with a teenager -Deadpool left her because he didn’t want to hurt her -Deadpool had a daughter -Deadpool didn’t believe she was his because she was too beautiful -Deadpool had to be dragged away from his daughter’s dead body by Cap and Wolverine -Deadpool carries Hello Kitty band aids -Deadpool is good with kids -Deadpool can’t be killed by Ghost Rider because he doesn’t think he’s done anything wrong -Deadpool hates himself -Deadpool used to curl up in a ball and mumble about his skin hurting -Deadpool is married to the queen of the undead -Deadpool reads his own comics
Conclusion: Wade Winston Wilson is a beautiful man who must be protected.
#flâner episode 1 from #strollingseries gaëlle & christelle talked about black french culture, “bande de filles”, afrofuturism, fatou, sisterhood & more
facebook | twitter | instagram | youtube | donate
Damn how could I not know that :/
"Wasn’t Kurt Cobain that guy who committed suicide?"
No. He was a lot more than that, you ignorant fuck.
Yet another geeky guy on the internet of Things. Plot-twist: is actually a feminist, expect some reblogs.
96 posts